mercredi 3 février 2016

Usn, champion de la mythomanie.



Evidemment, l’Usn s’est montré une énième fois qu’il est qu’un écran de fumée pour ses fidèles crédules à travers ses multiples bobards et calomnies ; ils s’acharnent inexorablement sur leur vielle tradition de mentir vrai au peuple.
Personne ne s’en doute qu’ils conspirent nuit et jour avec l’étranger contre l’ordre public et pour étouffer la paix, ruiner l’enthousiasme, noyer tout espoir, tuer tout effort dans l’œuf, infirmer les résultats spectaculaires, freiner tous les progrès, neutraliser les projets en cours, imprimer une profonde dissension dans le tissu populaire et semer le désordre.
Pour masquer leur fiasco politique désastreux, un seul espoir leur restait : tramer odieusement des complots, d’affabuler des bobards et des calomnies ignobles et inonder le peuple de fausses nouvelles.
Il est vraiment pénible d’ajouter foi à cette intoxication, à ce bourrage de crâne, au discours mortifère de ce groupuscule sans vie, ni action volontariste, ni volonté saine, ni jugement positif, aux idées crépusculaires, aux visions effarantes, qui est visiblement en état de déliquescence affreux, qui se livre actuellement à des affaires louches en colportant des médisances de bas étage, en chargeant le gouvernement de tous forfaits invraisemblables et dans le seul but de le discréditer aux yeux de sa population.
Friands de chroniques scandaleuses, ils grappillent des informations bidon et les balancent dans la société, propagent des rumeurs calomnieuse, des ragots dégoûtants dans l’intention de duper le peuple avec des inventions infernales, des élucubrations rocambolesques.
Je suis étonné et littéralement ébahi d’entendre que le défunt Ismael Guedi Harred (qu’Allah accueille son âme dans son paradis éternel) est mort empoisonné par son neveu sous l’ordre du président de la République avec la complicité Hassan Said, le chef de sécurité, que Dr. Djama a payé une lourde tribu à ses actes et le jeune député Said Houssein est poursuivi pour avoir dénoncé ces agissements, les bras m’en tombent. Comment pourrait-on concevoir des absurdités pareilles !
Il n’échappe à personne que Said Houssein, de père Houssein Hasara (provocateur et incompréhensible et compliqué) et de l’oncle Doualeh Cole (l’agressif) a forcément hérité les tempéraments belliqueux de ses parents. Il a naturellement un penchant pour le mal et un goût marqué pour le désordre. Je crois pouvoir vous faire comprendre l’intention sulfureuse de cet énergumène sans jugeote ni cervelle. Décidément, ce blanc-bec risque-tout est prêt à galvauder (s’il en pouvait) l’image glorieuse de notre pays. Il est très probable que ce vulgaire voyou, tête de linotte, ce petit dévoyé hors-la-loi, n’a nullement d’autres ambitions que vendre la peau de notre patrie.
Par ailleurs, c’est une erreur bouffonne de vouloir aller de mensonges en mensonges sans une transition logique, sans une once de scrupule, sans un grain de bon sens. Un vilain plaisir vous conduit de nourrir la nation des allégations mensongères, des fumisteries de tout genre et je pense que vous agissez que poussé irrémédiablement par l'appât d'un gain, fût-il illusoire.
Cependant, les Djiboutiens sont sûrs d’eux-mêmes dans leur choix, ils ont foi dans leur gouvernement, dans le développement durable de leur pays, ils sont attentifs, pragmatistes et exigeants jusqu’à dans la certitude fondée et absolue de chaque information venant de l’opposition et connaissent le fin fond de vos pensées. Personne n’ose croire en vos aphorismes prudhommesques, vos projets funambulesques, vos escobarderies misérabilistes. Bien sûr, il fallait être insensé pour croire en cette série des fariboles, des billevesées et des sornettes.
Les personnalités que vous voulez invariablement traîner sur la claie, sont dignes, probes et intègres, elles sont noblement sincères, grandement appréciés, héroïquement reçus, magnanimement estimés et aristocratiquement exemplaires ; elles sont exemptes de toutes ses imputations infondées, abusives et immotivées, de toutes ces dénonciations envieuses. Ces personnalités dont vous voulez vouer aux gémonies, vous dépassent largement par leur tact, leur expérience, leur sensibilité, leur intelligence, leur dévouement et leur patriotisme supérieurement consciencieux.
Il est bonnement impensable de vouloir incriminer mesquinement notre cher président jusqu’à dans une telle bassesse qui excelle par son inintelligibilité déconcertante.
Je vous réponds que le peuple en est las de vos laïus mensongers, de vos délires imprécatoires et n’ont aucun intérêt à adhérer un parti qui se prend pour le nombril du monde mais qui, parmi les imbéciles, remporte les pompons.
Ces propos diffamatoires qui ne s’appuyant sur aucune preuve matérielle ne tarderont jamais à se répercuter dans vos lignes de comptes.
Je vous invite de revoir votre copie.
Vive l’Unité Nationale. Vive la paix. Vive la fraternité. Vive le président de la République. Vive le peuple djiboutien.









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