Un diplomate occidental en poste a Djibouti a, bien avant février 2013, rappelé l'opposition djiboutienne à ses obligations et devoirs : " Messieurs, ce n'est pas la communauté internationale que vous devez convaincre de la justesse de votre combat, c'est votre propre Peuple ! (...)On l'aura enfin compris : personne ne misera sur cette opposition USN qui, allant jusqu'à exhiber publiquement ses contradictions, est loin d'incarner une relève crédible car potentiel de gouvernement quasiment nul faute d'un quelconque projet de société (il s'agit d'une lutte entre des sous-clans avec des figurants des autres communautés) et leadership sans aucune capacité fédératrice (meute sans chef réel)." Cassim Ahmed Dini.