mercredi 3 février 2016

DAF, la quête du pouvoir

Dans notre série sur DAF et ses ambitions sombres pour le pays, nous allons aujourd’hui lever le voile sur les vraies intentions de cet homme en partant d’un questionnement que tout djiboutien se doit de se poser pour comprendre ses agissements. Pourquoi est-il rentré à Djibouti et avoir laissé ses enfants à l’étranger, en Belgique ? Aime-t-il vraiment son pays, le pays qui lui a tout donné avant qu’il ne le quitte ? Aime-t-il, son peuple, la population Djiboutienne? Cherchons les réponses dans les faits, gestes et discours de ce monsieur. Analysons son discours. Depuis son retour, DAF ne cesse de tenir un discours extrémiste et radical. Il est contre tout dialogue. Rappelons-nous, il a été le seul de l’USN à s’opposer aux accords cadres entre l’USN et l’UMP. A chacune de ses interventions, il prône la violence, la haine et la division. Il cherche par tous les moyens la confrontation et l’anarchie. C’est à croire qu’il est missionné pour semer la discorde nationale. Il pense qu’il n’a rien à perdre. Il bénéficie d’une nationalité belge qui lui permettrait de se sauver si cela dégénère et de rejoindre sa famille et ses enfants qu’il a laissés en sécurité en Europe, en Belgique. On se souvient encore de son soutien à l’Erythrée lors de son agression du territoire national. C’était un acte de haute trahison de la nation car aucun patriote ne peut accepter une agression contre son pays. C’est qui l’intéresse c’est le pouvoir. Pour y parvenir, il compte passer par les armes et non pas par les urnes. Cet ancien militaire est donc prêt à faire alliance avec le diable comme il la fait précédemment avec l’Erythrée et les éléments qui sèment les troubles dans le nord du pays, pour assouvir des aspirations. Cette démarche est purement machiavélique. Mais les Djiboutiens ne sont pas dupes. Ils observent avec attention ce qui ce passe dans les pays voisins, notamment le Yémen et la Somalie. Ils mesurent les bénéfices la paix et la sécurité dont ils jouissent et n’accordent aucun crédit à cet oiseau de mauvais augure. Ils ne demandent qu’une chose, que DAF et ses acolytes d’un autre âge les laissent en paix et retournent d’où ils viennent. A bon entendeur salut. A suivre










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