samedi 27 février 2016

Félicitation et bravo à notre grand champion Ayanleh Souleiman

en athlétisme international. il viens de décrocher l'Or sur un nouveau record mondiale de 1000m à Stockholm.



Djibouti : Développement inclusive loin du plantage du « Consensus de Washington ».

Djibouti : Développement inclusive loin du plantage du « Consensus de Washington ».

Le consensus de Washington et ses mesures ultralibérales n’ont point remis de l’ordre dans les économies des Etats du tiers monde. Pas du moins avant son inflexion fin de la décennie 2000 sur recommandations de certains économistes connus pour leurs positions favorables à une certaines rôles de l’Etat dans les économies (Stiglitz 1998, Kuczynski 2003, Kuczynski 2003, Rodrik 2003). En Effet, les pays ayant appliqués fidèlement les recommandations du « consensus de Washington » n’ont globalement pas obtenu de meilleurs résultats économiques en termes de croissance, de développement ou de réduction de la dette publique. Tandis qu’ils supportaient les conséquences sociales de l’ajustement. Ces directives étaient conduites par le FMI, et la banque mondiale, deux institutions connues pour leurs penchants idéologique du marché. D’ailleurs tous emprunts accordés à ses Etats étaient reliés à des batteries de dispositifs contraignant pour un pays comme le notre ou l’Etat et ses structures, avec la faiblesse du secteur privé, constitue la colonne vertébrale de l’économie locale. Le président IOG, l’a lui-même paraphrasé dans une interview à jeune Afrique en 2014 ou celui-ci expliquait « Prenez le cas du nouveau chemin de fer avec l’Éthiopie. Le FMI a dépêché ici pas moins de trois missions pour nous dire de ne pas signer avec la Chine sous prétexte d’endettement excessif. Que nous proposait-il en échange ? Rien. Entre ce rien prétendument vertueux et le développement d’infrastructures vitales, ma décision a été vite prise. ». N’est ce pas cette même FMI qui en 2008 avec la crise financière recommandait aux Etats de puiser davantage sur leurs déficits budgétaires pour éviter la dépression ? Pourquoi déconseillait-elle le gouvernement djiboutien si bien qu’il est connu tant dans l’analyse théorique que dans la réalité des faits, depuis les années 30, de financer la relance par l’emprunt du moins quand sa soutenabilité n’est pas en question? Disons-le toute de suite, en dépassant la vision occidentalo-centriste de ce concept : IOG a tranché vers une vision plus adaptée aux réalités économiques et géopolitiques de notre pays et de notre région. La Chine motivée a tiré partie des atouts dont Djibouti dispose à cogiter les nombreuses infrastructures tels qu’un secteur financier solide (une monnaie ayant cour légal, depuis 1949, avec le dollar américain limitant la variation du taux de change, une liberté totale des mouvements des capitaux). Des équipements portuaires et aéroportuaires de dernière génération ainsi qu’un secteur de télécommunication classé parmi les plus avancés dans la région. Toutefois pour Pékin Djibouti constitue un point d’entrée vers notre arrière-pays aux immenses opportunités. Ces accords de partenariat avec Pékin permettent à notre pays d’accompagner cette vision du président IOG, celle de concevoir Djibouti en un Hub régional, maritime et logistique. Dit autrement, une idée de développement axée vers une intégration économique capable de donner à Djibouti un rôle de plateforme majeur dans l’arrière pays. Par ailleurs, les implications d’une telle stratégie semblent réfléchies en amont par les autorités (Ministère de la formation professionnelle) en formant la main d’œuvre adéquate (operateur des engins de transport, chauffeur poids lourds, techniciens supérieurs, ingénieurs etc.…). Ces projets, selon les estimations, créeront plus d’une dizaine de milliers d’emplois directs d’ici les prochaines années mais en même temps soutenir une croissance économique avoisinant les 7%. Malheureusement, nombreux sont les attaques et les critiques concernant cette stratégie de développement, parfois émanant directement de l’opposition sans d’ailleurs proposer une autre idée plus ingénieuse capable de contribuer aux développements stratégiques. S’appuyant pêle-mêle sur des argumentaires aussi irresponsables que fallacieux comme le « risque de vassalité vis-à-vis de l’empire abyssin », ou le « niveau élevé de l’endettement », ou enfin la « nature anti-démocratique » de la Chine. Enfin, notre pays a un avenir dans une intégration régionale ou celui-ci occupe le prestigieux rôle d’être la porte d’entrée de toute la région.



تدفق الاستثمارات الأجنبي في جيبوتي يكون أحد أهم التغيرات الحديثة في الاقتصاد جيبوتي وأن الواجهة الرئيسية لهذه التدفقات هي الدول الآسيوية وعلي
رأسها الصين واليابان ودول الخليج لتكون جيبوتي بوابة الي دول الإفريقيا وخاصة القرن الإفريقي لنشر منتجات هذا الدول, وآثار المتوقع لهذه الاستثمارات يكون إيجابيا للاقتصاد الوطن مما يساعده على دفع عجلة التنمية الاقتصادية و إنهاء البطالة في جيبوتي لخلق فرص عمل للشباب




Les Facteurs de la création d’entreprise

Les Facteurs de la création d’entreprise
La création d’entreprise est le mécanisme qui consiste en la mise en place d’une nouvelle entité économique autonome ayant pour objectif de créer de la valeur ajoutée. Cette entité autonome se nomme entreprise. Dans cette dénomination d’entreprise, on retrouve souvent toute sorte de structures quelques soit la taille (très petite entreprise, petite et moyenne entreprise, très grande entreprise) ou la forme juridique (entreprise individuelle, société à responsabilité limitée, société anonyme, etc.). La taille d’une entreprise est généralement déterminée par l’effectif (nombre de salariés), le chiffre d’affaires (niveau d’activité) ou par l’importance des investissements (valeur de l’actif du bilan). La forme juridique est le cadre légale d’exercice de l’activité de l’entreprise vis-à-vis des pouvoirs publics. C’est ainsi qu’un grand établissement public tel que le port de Djibouti et la petite boutique de quartier seront tous deux considérés comme des entreprises.
L’entrepreneur
L’acteur principal d’une création d’entreprise s’appelle l’entrepreneur. Il s’agit d’un individu (homme ou femme) qui sera à l’origine de la formation de l’entreprise et dont la motivation majeure est souvent le gain d’argent. L’entrepreneur pourra être tout seul dans l’exercice de la profession (cas d’une entreprise individuelle) ou trouver d’autres partenaires que l’on nomme associés. Dans ce dernier cas, l’entreprise en question sera dénommée société et consiste en une sorte d’association d’individus désirant mettre en commun leur idées, leurs compétences, et leurs ressources. Il en résulte, lors de la constitution de l’entreprise, une opération d’apport qui peut s’obtenir de différentes façons : en numéraire (apport d’argent) et/ou en nature (apport de matériels). Ainsi la dotation initiale de l’entreprise en capitaux propres peut se faire par apport personnel ou encore par emprunt auprès d’une banque. L’entrepreneur doit en fin de compte procéder à l’exécution des formalités administratives afférentes à la création de l’entreprise.
Le projet de création d’entreprise.
Tout projet de création d’entreprise naît d’une opportunité économique, se justifie par l’existence d’une demande potentielle, et se concrétise par une volonté et une possibilité d’entreprise. Nous entendons par opportunité une situation permettant d’obtenir et fidéliser de la clientèle. Par exemple, il est possible de construire un projet d’entreprise autour d’une insatisfaction de la clientèle d’un secteur donnée à cause d’une cherté du prix ou d’une insuffisance de la qualité de la prestation ou du produit. Cette opportunité doit être exploitée par une volonté (motivation entrepreneuriale) et une possibilité se concrétisant par des moyens de réalisation. Pour vérifier la viabilité de son projet, l’entrepreneur doit élaborer une petite comptabilité prévisionnelle. Compte de résultat et plan de financement sont les plus importants à réaliser. Ils permettent de vérifier la rentabilité de la future entreprise.





DAF, maitre gourou de sa secte MJO.

DAF, maitre gourou de sa secte MJO.
C’est une évidence que personne n’ignore, les jeunes MJO sont victimes de lavage de cerveau et bourrage de haine dans leur petite crane. Ce groupe rassemble des jeunes désœuvrés et ayant quitté les études à un niveau bas, s’accroche vainement à une lutte imaginaire.
Au sommet de cette secte (MJO) on trouve un gourou qui serait le seul détenteur d’une vérité absolue, ce qui lui permet d’exercer un pouvoir totalitaire sur les membres de sa secte. Ce gourou infâme force ses adeptes à se placer en position de rupture avec la société.
Plusieurs jeunes, anciens membres du MJO décrivent le calvaire et tirent la sonnette d’alarme après avoir quitter cette secte. Ces jeunes dénoncent les vices qui se pratiquent à savoir des incitations à la haine tribale, les manipulations mentales …
Ces jeunes nous étalent la méthode de recrutement qu’ils exhibent comme une sorte de manipulation dans la mesure où personne n’y adhère volontairement.
La fragilité des jeunes et la possibilité qu’ils soient la cible des groupes sectaires doivent susciter l’attention des autorités.
Par fragilités, nous faisons référence à la petite Djouweira, qui a été victimes de lavage de cerveau de la part du maitre gourou DAF. Les dérives et les impertinences de la part de cette jeune ne se comptent plus. Les derniers informations que nous détenons à son égard, nous indique que la jeune a rompu les liens et tout autre relation avec sa famille.


Demission d'un haut responsable

Cette demission d'un haut responsable du CDU temoigne du profond malentendu qui regne au sein d'une tranche de l'opposition sans projet politique et qui en se dissimilant dans les candidatures à l'election presidentiel, possedent en realité un agenda anti-republicain. Nous acceuillons au retour à la raison de ce haut responsable.

Analyse politique : Une grille de lecture comparative. (Suite)

Analyse politique : Une grille de lecture comparative. (Suite)
L’Union pour le Salut National USN, sa concentration de « 7 partis » politiques a constitué depuis 2013 un sérieux contrepoids à l’UMP. Possédant 10 députés au sein de l’assemblée nationale, cette coalition s’est vue depuis minée par les conflits internes sur fond clanique et l’absence totale d’un leadership, mettant de facto sur la place publique leurs propres contradictions. Certains partis aux orientations politiques douteuses, la disparition d’IGH, ainsi que les querelles internes on fait surgir au grand public cette « dictature des vieux ». Cela l’a fait perdre considérablement des sympathisants acquis à la première lueur de sa fondation. Scindé en deux fragment aujourd’hui l’un composé du PDD, de l’UDJ et du RADD qui soutiennent Mohamed Chehem Daoud et l’autre par le MRD, l’ARD, le MODEL et le CDU ayant apporté leur soutien à Omar Elmi Khaireh. Ceci démontre une fois de plus leur manque du sens de l’organisation, d’un leader charismatique et d’un Etat major où s’arrêtent les décisions stratégiques. Au-delà de quelques slogans politiciens, vides de sens et sans intérêt réel et stratégique pour l’avenir de notre pays, cette coalition n’a absolument aucun projet à proposer. C’est le maillon faible de trois coalitions. Leurs mésententes disent plus de leurs manques de sérieux quant à la délicate tache d’assurer à la destinée de la république.
Enfin, la coalition Union pour la Majorité Présidentielle (UMP), semble incontestablement la mieux organisée, la mieux hiérarchisée, aux rangs resserrés, préparés autour d’un seul chef à la qualité d’un leader incontestable pour monter à la ligne de front électorale. En effet, son bilan économique est marqué par l’amélioration continue de tous les indicateurs macroéconomiques et seront en effet soutenus au même rythme à cause des importants projets d’infrastructures en cours de réalisations.
La finalité consiste à lancer les bases d’une économie forte capable de répondre aux nouvelles opportunités de l’intégration économique dans la sous région. Sur le plan politique, la nomination à la tête de la direction Ali Guelleh Aboubaker et de Youssouf Moussa Dawaleh, tous deux membres du FRUD, témoigne sinon justifie le climat de sincérité et d’alliance qui règne au sein de l’UMP.
Le choix de cette direction de campagne va au-delà d’un simple calcul numérique. Au fait, celle-ci symbolise en elle-même le climat de confiance sinon reflète la solidité du camp de l’UMP et à sa tête l’alliance RPP-FRUD. La délicate question de la coopération internationale suscite un intérêt politique parce qu’elle conditionne les résultats économiques dans notre pays. Fidèle à son slogan « Djibouti ami de tous et ennemi de personne », le président sortant a su concilier les intérêts des puissances aux croyances idéologiques et aux visions diamétralement opposés. Le Candidat IOG a eu ce génie politique de dépasser la logique des blocs en tirant partie de par et d’autre de l’échiquier international, sans prendre partie idéologiquement, nos intérêts nationaux. Celui-ci, tout en préservant l’amitié, (la présence d’une base militaire chinoise à Djibouti ne porte pas atteinte à nos bonnes relations avec ce pays, a déclaré Washington), les intérêts et la bonne entente avec les pays occidentaux, a ouvert la porte aux investissements chinois vitale aux développements de nos infrastructures portuaires, aéroportuaires et de transport. Par ailleurs, presque tous les autres candidats ou supposé candidats ont tendance à proposer l’approfondissement de la coopération néocoloniale (Voir le discours de déclaration de TourTour à la présidentielle) incapable à se défaire mentalement du rôle d’anciens colonisés que notre histoire nous a légués. Quant à l’USN, celui-ci, en dénonçant la coopération sino-Djiboutienne, ne cesse de faire allégeance à un occident qui n’est guère capable de s’aider lui-même. Enfin, comme dit notre constitution, la « légitimité populaire est la source de tous pouvoirs », c’est au peuple que reviendra la décision de trancher entre ces candidats.









Les charognards pédophiles, « vendeurs de rêves » aux naïfs!!!

Les charognards pédophiles, « vendeurs de rêves » aux naïfs!!!
Pour les populations africaines les mal colonisées, les moins informées, complexées par ces réflexes d’humiliation hérités du colonisateur. Le « GAAL » (homme blanc) exerce toujours sur une partie de nous, les africains colonisés hier, cette fascination, ce mystère, cette perception d’« homme supérieur », ce « détenteur de la vérité », ce « faiseur des biens ». Bref cet « être parfait » dans toutes ses facettes et dans ses entreprises. Malheureusement, cette faiblesse liée à l’histoire pousse certains « GAAL » à chercher à en tirer partie tout en se dissimulant derrière des argumentaires aussi nobles que sont les droits de l’homme. 
C’est le cas Roger Picon et de Jean-Loup Schaal. Ces sulfureux ressortissants français, qui depuis des décennies, s’immiscent dans nos affaires internes et nécessitent une meilleure compréhension de leurs acharnements à l’égard de l’Etat de la République de Djibouti. Au fait, ces messieurs seraient liés à des vastes réseaux de pédophilies dans les années 80. 
Immédiatement surpris par les autorités Djiboutiennes, ces réseaux en Afrique où l'on rencontre pêle-mêle des soldats perdus, des mercenaires, des spécialistes de la sécurité, des auxiliaires des services de renseignement et des marchands d'armes. Et parfois même des narcotrafiquants. Ils seront surpris et arrêtés avant d’être refoulés par les autorités Djiboutiens. Écartés de leurs trafics sexuels juteux, ils auront une haine viscérale à l’encontre des autorités nationales. Raison pour laquelle, ils divulguent des informations erronées et se sont fixés pour objectif d’usurper le pouvoir en manipulant sous couvert des droits de l’homme une opposition en manque de repère et souvent loin des préoccupations du Djiboutien Lamba. Comment allez-vous aider un peuple dont vous avez violé, dans la plus grande brutalité, ses enfants et son avenir ? Qu’allez-vous donner aux Djiboutiens, Messieurs, les néo-colonialistes ? Du pain ou un fusil ? Pourquoi n’y écriviez-vous pas sur l’Arabie saoudite qui a exécuté le mois derniers 47 de ses ressortissants ? 
En toute évidence, votre objectif est vengeur, il s’agit de vous venger à ceux qui se sont dressés contre vos magouilles et vos pratiques malsaines contraires à nos mœurs et à nos croyances religieuses. Messieurs dites adieu à l’époque ou au nom des intérêts économiques, il était possible de faire et de défaire les régimes en Afrique. C’est une nouvelle époque ou chaque fils digne de la république se tiendra debout face à vos manipulations, face à vos attaques et faces à vos atteintes à l’unité de l’Etat. 
Quant aux idiots qui compteront sur vous, ils seront incontestablement à la traine de l’histoire, de notre histoire, celle d’une Afrique débarrassée de tout complexe d’infériorité. 
Esclaves des champs, esclaves des maisons, colonisés, torturés culturellement, parlant les langues des autres, décolonisées. Tout cela ne vous suffit pas ? Pourquoi n’allez-vous pas, si vous êtes de bonne foi, condamner les exécutions extrajudiciaires des noirs aux USA ? Certainement, la réponse des Yankees sera une gifle ? Nous avons de grands combats à mener. Et ces combats ne sont pas destinés à nous venger mais pour être reconnu en tant qu’« homme » au même titre que les autres.









USN : LA CANDIDATURE de la HONTE.
On s’attendait à une bêtise politique de la part de cadors usnistes récalcitrants. Mais pas de cette envergure. Hier 13 février, c’est un président d’un parti (ARD, non légal puisque celui reconnu se trouve sous le joug de CASSIM AHMED DINI) et président de l’USN (plateforme non reconnue puisque la vraie a désigné comme candidat légitime MOHAMED DAOUD CHEHEM) désigne OMAR ELMI KHAIREH comme candidat au scrutin de 2016.
Avouer qu’il ya quelque chose qui ne tourne pas rond. Politiquement incorrect. Un bras d’honneur à toutes les institutions démocratiques d’un pays souverain. Une plateforme opposante illégale propose un candidat qui devient forcement illégal!!
Mais ne vous y méprenez pas mes compatriotes !! Derrière la déclaration d’AHMED YOUSSOUF HOUMED hier soir, une stratégie diabolique visant à déstabiliser la nation toute entière commence à pointer son nez !!!!
Il était impensable aux yeux de tous les Djiboutiens, qui sont conscients du degré du mal sournois des islamo-intégristes du MODEL, que MOHAMED DAOUD CHEHEM soit le candidat légal et unique de l’USN. NON que NON. La parade est fulgurante !! Un produit à la mesure de leur cupidité politique est proposé. OMAR ELMI KHAIREH !!! Une ex-gloire de la nation. Farouche indépendantiste certes mais qui a perdu de son lustre. Un homme traîné dans la boue par les militants usnistes eux-mêmes tant sa capacité intellectuelle et politique est désuète. Au crépuscule de sa vie voila porté sur une civière et présenté comme le messie par l’aile radicale d’une opposition en agonie.
Dans un article paru dans DJIBPRESS, on avait décrit le fonctionnement et surtout l’engouement des islamo-fascistes pour le pouvoir absolu. Qu’ils vont imposer « leur candidat ». Leur marionnette !!! Eh bien c’est chose faite. Par des pressions énormes, ils ont non seulement enterré le slogan « PAS DE CENI PAS D’ELECTION » mais surtout imposé leur choix. Mais ce slogan sera concrétisé d’une autre manière. Plus maléfique. A leur image. Qui l’eut cru ?? Mais vous avez bien compris. OMAR ELMI KHAIREH est un leurre. Un trompe-l’œil. Le baobab qui cache la forêt.
La technique est bien rodée. Faire tourner le monde entier en bourrique !! Et tourner en même temps tous les caméras du monde vers ce havre de paix : DJIBOUTI. Deux candidats pour une même plateforme. Un blasphème électoral. Car inédit. Ce qu’ils veulent ; c’est plonger le pays dans un chaos pré-électoral. Une impasse politique. Quitte à saboter le déroulement du scrutin d'Avril. « PAS DE CENI PAS d’ELECTION » mais d’une autre façon plus démoniaque. Et c’est leur principal dessin, les intégristes.
Ils se savent dépassés par les événements ces derniers jours. Qu’ils ont perdu toute crédibilité. Ils abattent leur dernière carte. Mais quelle carte !!!! « BOULDHOUQO » passera pour une prise de pouls. Une promenade de santé. Comparé à ce qui se trame derrière cette candidature factice. Leur point d’orgue étant une guerre civile.
On prend à témoins toute la communauté internationale de la tournure que prend la situation politique à Djibouti. Du précipice que veulent entraîner les islamistes du MODEL tout un pays.







La République de Djibouti a créé un environnement favorable aux Investissements directs étrangers (IDE), qui ont fait doubler la croissance du PIB réel en quatre ans.
L'économie Djiboutienne est basée sur le secteur des services (83% du Produit Intérieur Brut Djiboutienne).
Autour du Port de Djibouti ainsi que du Chemin de fer Djibouti - Éthiopie, se sont concentres les activités bancaires, les assurances et le commerce international.
La croissance du port de Djibouti a aussi été permise par d'importants Investissements directs étrangers .
Le transport international et les télécommunications occupent une place important (24 % du PIB).
c'est la réalité économique de notre pays!!!
Djibpress Chaine d'info : http://djib-press.blogspot.com/
https://www.youtube.com/watch?v=b2CC9McaVqg

samedi 13 février 2016

ARTICLE 2 : LA VISION DJIBOUTI 2035

: LES FACTEURS D’UN DEVELOPPEMENT HARMONIEUX
La vision 2035 est basée sur une approche nouvelle dite « inclusive » combinant efficacité économique et équité sociale, une manière de joindre l’utile à l’agréable c’est-à-dire la performance du développement à l’amélioration des conditions de vie de la population. Cela se traduit par l’application d’un modèle de croissance consistant à exploiter d’une part les atouts du pays en termes de potentiels humains, d’infrastructures ainsi que de ressources naturelles et géostratégiques et d’autre part de minimiser les contraintes freinant la croissance et la création d’emplois pour l’atteinte des objectifs fixés. A cet effet, les bases de cette stratégie se focaliseront sur plusieurs aspects : développer de grands projets fiables sur l’ensemble du territoire (infrastructures aéor-portuaires et ferroviaires), améliorer l’environnement des affaires (bonne gouvernance et lutte contre la corruption), Renforcer en formation les capacités de la ressource humaine (adéquation entre formation et emploi pour atténuer les tensions sur le marché du travail), développer les secteurs porteurs (tourisme, pêche, élevage) et diversifier l’économie pour créer de l’emploi et de la richesse, et supporter les situations de crises (inflation, famines,…). Le fer de lance de cette stratégie se base surtout sur le développement des infrastructures du pays à travers de grands projets financés en particulier par des partenaires étrangers tels que la Chine. Ces infrastructures se répartissent à travers de multiples secteurs dont le transport (chemin de fer, port, aéroport), l’énergie (géothermie, dessalement d’eau de mer). Le socle de cette stratégie visionnaire à long terme réside donc dans la réalisation de grands projets d’envergure générateurs de richesses et créateurs d’emplois.




خيراً رشحت احزاب المعارضة USN (محمد دؤد شحم )كمرشح الرئآسي معارض حسب قوله وهو من حزب PDD في داخل المعارضة ، وصرح بنفسه انه هو المرشح الوحيد الذي يمثل احزاب المعارضة التي اجتمعت تحت مظلة USN ،رغم ان تصريحه يظهر نوع من الاستخفاف بالمعارضة الاخرى (محمد داؤد ) ليس لديه اي شعبية يذكر بمقارنة الأحزاب الاخرى في USN ، وتصريحه الامس اثار غضبا شديدا في أوساط المعارضة خاصة حزب CDU لان رئيس هذا الحزب ايضا كان مرشحا للرئاسة في الأيام القليل الماضية ورصيده الوحيد من الشعب هم كانو مؤيدي حزب MRD وهذا الحزب خرج من الساحة المنافسة ، اما MODELE فهم ليس لديهم خيار الا ان يموتو جانب CDU .
كنّا ومازلنا نتحدث عن عمق الاختلافات بين تجمع المعارضة تحت مظلة usn والهدف التحدث عنهم ليس كرها عن سياسة معارض يعارض عن سياسة ما ، بل ليعرف المواطن ان الاشخاص الذين تجمعوا وسمو أنفسهم انهم احزاب تجمعت لمعارضة السلطة الحاكمة ونقد سياساتها تجاه ادارة البلد ، كانوا يحملون اسم فقط ولم يكن لديهم برنامج سياسي موحد يقتنع بها المواطن والاسباب ترجع بإختلاف ايدولوجياتهم ، ووجود أشخاص لديهم مصلحة خاصة ، وغياب عقلية سياسية حكيمة يثق بها المواطن ، وكل هذا نقصان الفكري، والحكمة ، والسياسة ، ونقص اهتمام مصلحة العامة للبلد هو ما وضع في هذا الحال الانشقاقي والتفكك والتهرب عن بعضهم البعض وانكشف كل الأسرار المخفية سابقا ،ومتسترة تحت ادعاآة الوحدة , ونحن نقول لا للتظليل لا تستر وإخفاء الحقيقة لا للفوضى لا للتخلف . نحن شعب واحد ونحب السياسة التي تحمل ترسيخ الأمن في المجتمع واهتمام ما يحمل البلد الي التقدم والتطور وهي السياسة التي يحملها حزب UMP الذي يترأسه فخامة رئيس الجمهورية السيد/اسماعيل عمر جيلة


Communique de Presse du Président du PDD

Cette déclaration du Président du PDD était bien prévisible aux vues des faits et l’étendue des contradictions au sein du groupement politique de ses dernières jours. Avec l'UDJ, sans volonté d'y aller concourir, le PDD, parti fondateur de l'USN, est désormais le seul, d'un point de vue légale, à porter les couleurs de la coalition à l’élection présidentiel d'avril prochain.


mercredi 10 février 2016

Silence de dignitaire islamiste: prudence ou complicité?

La crise interne à l’USN suscite bien des interrogations. Les hauts dignitaires islamistes n’ont placardé leurs positions politiques clairement comme ils les faisaient traditionnellement par écrit, vidéo ou autres depuis 2013. Comment peut-on expliquer ce silence ? Est-ce leur manière de désavouer ce fiasco interne? Ou est ce bien une complicité, qui au-delà des questions de contradictions internes, démontre sciemment leurs rôles d’acteurs principale en dessous de la crise interne de l’USN. En évidence ! Il est indéniable que les islamistes sont les maitres d’œuvres de la crise interne de l'USN qui va certainement conduire à sa dislocation . En effet, Leur vaine tentative d’imposer leurs hommes au Haut Conseil ainsi qu’un candidat de leur choix à l’élection présidentiel sont les deux questions majeurs ayant conduit l’USN à la débâcle.


Analyse politique : Une grille de lecture comparative.

Faire tourner un État requière incontestablement des qualités hors-paires surtout dans le contexte d’incertitude ou terrorismes, effondrement des États constituent les plus grand défis dans le monde arabo-musulman. Avec une population jeune (plus de 60% de la population est au dessous de 25 ans), des indicateurs économiques aux meilleures performances, des réels problèmes de redistributions des richesses malgré les maintes initiatives d’ajustements, l’afflux des grands de ce mondes additionné au contexte régionale tendu rimant avec terrorisme et instabilité. Jamais le contexte politique nationale n’a, de surcroit, était aussi en pleine ébullition méritant de ce faite une fine analyse en passant en revue tant des acteurs que des faits politiques. A quelques semaines de la date butoirs des élections présidentielles d’Avril 2016, notons que trois coalitions vont concourir par candidat interposé. Quels projets portent-ils aux djiboutiens ? Quels en sont leurs objectifs ? Sont-ils crédible auprès de Djiboutiens ? 
L’Alliance Républicaine (AR) conduite et construite autour de deux imminentes personnalités personnalités politiques constitue, pour nombre assez conséquent de la diaspora et des milieux éclairés, une autre voix plus objective, plus rationnelle et plus représentative de l’opposition politique. Cette coalition fonde son projet sur une panoplie d’expression et de mots se résumant à : « Construire l’Etat, déconstruire les clans », « réconciliation », « paix », « justice », « Etat de droit », « seconde indépendance ». Un calendrier idéal incompatible aux réels soucis de la population djiboutienne. Le peuple s’en fout carrément de ces notions qui lui sont, pour la majorité sans doute, étranger. Celui demande du travail et une vie décente. Les réponses des demandes du peuple passent par la construction du fondement structurelle de l’économie nationale. Compte tenu de leur passé, pas si harmonieuse par l’actuel chef de L’État, ne cachent-ils pas davantage un agenda sur fond de règlement de compte bien dissimilé sur des messages aux apparences correctes mais bien trompeuses. Comment construire et appeler à un avenir radieux tous en se fixant des objectifs revanchards ? Au-delà de ces quelques mots, leurs absences décennales dans les rouages administrations et décisionnelles leurs font défaut faisant apparaitre un certain doute quant à leur capacité de mener à bien L’État.
A suivre....
Djibpress








La vision Djibouti 2035 : un instrument de pilotage du développement économique et social
Conçu en 2013 d’un consensus national, la vision 2035 est une stratégie à long terme couvrant la période 2015 à 2035. Il s’agit d’un ensemble d’actions à entreprendre par le gouvernement Djiboutien dans le domaine du développement économique, de l’épanouissement social et qui va se traduire sur le terrain en 4 plans opérationnels de 5 ans chacun appelés SCAPE ou Stratégie de Croissance Accéléré et de Promotion de l’Emploi. Les résultats attendus en 2035 sont de deux natures : (1) ramener le taux de chômage à 10% (aujourd’hui 50% de la population active), (2) tripler le revenu de chaque citoyen. De part sa nature, la nouvelle stratégie du gouvernement reste en ligne avec les objectifs de développement (OMD) à savoir la paix et l’unité nationale, la bonne gouvernance, la compétitivité économique, la valorisation du capital humain et l’intégration régionale. Il est à rappeler que la SCAPE est la conséquence d’une série de planification stratégique qui ont porté leurs fruits à savoir le DSRP (Document Stratégique de Réduction de la Pauvreté) et l’INDS (Initiative Nationale pour le Développement Social). Le DSRP (2004 à 2006) a permis au pays une croissance économique de 3,6% alors que l’INDS (2008 à 2012) a porté la richesse nationale du pays (PIB) à un taux de 4,7% en 2013. Autant vous dire que la République de Djibouti suit une trajectoire de développement soutenue, rapide et contrôlée à l’aide d’une stratégie planifiée et exécutée par un gouvernement qui œuvre sans relâche à cette difficile et délicate tâche qu’est la gouvernance.














Les faits marquants de l’Economie Djiboutienne.


La République de Djibouti a manifesté une capacité qui lui est propre lorsqu’il s’agit de surmonter les crises économiques en dépit de ses ressources naturelles limitées. Nous nous rappelons des années difficiles qui ont précédé le programme d’ajustement structurel. Précisément c’est en 1994 que le gouvernement a saisi les institutions de breton woods (FMI, BM) pour les aider à trouver des solutions aux problèmes conjoncturels et structurels. De 1995 à 2011, les accords entre le FMI et Djibouti ont évolué passant d’un programme d’ajustement à une facilité élargie du crédit. Cette coopération entre les institutions de Bretons Woods et les autorités Djiboutiennes débouche sur une refonte et une révision de la structure et de l’élaboration budgétaire. A cet effet, on parlera d’un assainissement budgétaire qui s’énumère ainsi :
Ø Diminution de la dette ;
Ø Réduction du déficit ;
Ø Amélioration des recettes ;
Ø Et programme de privatisation.
Les années qui ont suivi la mise en œuvre du programme d’ajustement ont été douloureuses en matière sociale. Les politiques recommandées par le FMI font l’objet de critiques, souvent sévères, émanant en particulier des pays concernés, en raison tout d’abord des conséquences sociales qui en résultent.
Les causes sont multiples :
Ø Revenus urbains sont en baisse du fait des économies budgétaires
Ø Réduction des emplois publics
Ø Suppression des subventions
Ø Réduction de l’activité économique
Ø Hausse du chômage (à Djibouti : il est de 59% en 2000)
Le chômage s‘est accru et la pauvreté s’est généralisé à toutes les couches sociales populaires. Le taux de pauvreté se situe à 59%, 10% se situe en dessous du seuil de pauvreté, et est plus élevé parmi les réfugiés et les nomades. Ainsi, le filet de protection informel pour les groupes vulnérables est inadéquat. Avec un effectif de personne plus important le niveau de vie des agents de l’Etat a probablement diminué de près de 40% à 50% en dix ans y compris les mesures d’ajustement. La chute importante du revenu moyen par habitant a contribué à élever le niveau de la pauvreté et du chômage. Durant cette période sous ajustement, le pays est confronté aux déséquilibres socio-économiques et sa croissance reste modeste pour pouvoir réduire la pauvreté. A Partir des années 2000, Djibouti, porté par un nouvel élan et un nouveau souffle a subi une profonde transformation favorisée par une forte hausse des investissements directs étrangers dans des projets à fortes intensité de capital.
A suivre…
Djib-Press





Il est vrai que les réalisations et projets poussent comme des champignons à Djibouti , idéalement situé géographiquement. Faisant face à la péninsule arabique, des milliers de bateaux marchands empruntent le détroit de Bab-el-Mandeb avant ou après avoir passé le Canal de Suez plus au nord en Egypte. Le port de Djibouti connaît des extensions incessantes pour accueillir le commerce régional et international, mais pas seulement. Une partie du nouveau port sera destiné à la construction d’une base navale sous pavillon…chinois.
La première base navale de la Chine en Afrique. Le ministre djiboutien de la Défense a assuré qu’elle serait opérationnelle en 2017. Une base comme symbole des relations au beau fixe entre Djibouti et un partenaire chinois qui s’est imposé dans ce pays au détriment des alliés traditionnels que sont les Etats-Unis et la France. La Chine pourra plus aisément patrouiller dans des eaux où la piraterie constitue un problème majeur. L’instauration d’une telle base est un nouvel élément qui vient renforcer l’idée selon laquelle la Chine est aujourd’hui le principal partenaire du régime djiboutien. Les contrats se multiplient entre les deux pays et les entreprises occidentales sont laissées sur la touche. Mais Ismaïl Omar Guelleh n’est pas novice en politique internationale et sait ménager les grandes puissances et en premier lieu les Etats-Unis dont le bail de la base militaire Camp Lemonnier a été renouvelé pour une période de dix ans en 2014. Une présence jugée indispensable par les forces américaines qui lutte contre le terrorisme, mais qui se paye tout de même au prix fort puisque l’Oncle Sam devra débourser 63 millions de dollars chaque année contre 38 millions auparavant.










mardi 9 février 2016

DAF : le pouvoir à tout prix.

‘’Tout pouvoir sans contrôle rend fou. ‘’ Alain, politique (1951) DAF, une force destructrice de la nation, une fois devenu une persona non grata de l’Usn, ne sait plus comment réprimer ses pulsions politiques agressives et obsédantes et ne connait pas non plus sa capacité à ‘’se prendre les pieds dans le tapis’’. Il s’illustre par des cris et des gesticulations frisant à la folie. Voilà enfin qui se livre à des malheureuses excentricités après tant des tremblements, cet éternel rouspéteur qui s’appesantit sur des cafouillages infâmes et bat la breloque. On ne l'écoute que pour rire ou pour l'injurier. Ses manigances innombrables, ses ambitions fangeuses, ses desseins inavouables ne visent que conquérir le pouvoir par la voie de la violence. Gâté par l’afféterie, il a un soif de pouvoir, un désir de délation, des dénonciations envieuses, des odieuses félonies, un agenda bourré des activités putrides à n’en jamais finir. Un bonhomme au naturel soupçonneux, patelin et finassier, un hypocrite qui fait mille simagrées ridicules ayant des visées belliqueuses, en mal avec la théâtralité de son snobisme intellectuel et qui désire ardemment assouvir cette fringale inhumaine et monstrueuse en torpillant les bases solides de l’état de droit et la démocratie apaisée. Il est à noter qu’il est fidèle à son habitude morbide et bêtifiante d’outrepasser ses pouvoirs et d’être toujours en conflit direct avec les principes fondamentaux de la constitution. Un joyeux histrion politique intarissable en termes des erreurs et des maladresses historiques, qui use et abuse d’une manière fière et arrogante des procédés enquiquineurs, des basses trahisons motivées par des ambitions fangeuses pour déstabiliser le pays. Cela faisant, il sûr que l’opposition n’est jamais en odeur de sainteté avec cet esprit tordu toujours agissant au profit d’un opportunisme de circonstances, au regard perfide et énigmatique jetant feu et foudre, adepte de scénarios politiques cauchemardesques qui se livre à des funambulisme tactique pour critiquer la gestion des affaires publique, fustiger le futur de l’état, déverser un torrent d’injures sur les personnalités éminentes et bousculer les acquits et les bonnes mœurs. On ignore, pour l’instant, pourquoi il est si emporté, pourquoi tant de haine contre sa patrie, une patrie qui l’a nourri, qui l’a formé et qui l’a fait de ce qu’il est maintenant. Nous espérons vous fournir une réponse amplement détaillée dans nos prochaines éditions.










« Derrière chaque traître, il y a une patrie qui saigne, une femme qui souffre et un lâche qui se cache derrière sa dignité et jouit de la grandeur de ses faiblesses. C’est l’image populaire du coup de poignard dans le dos ». (Brahim Gater)
Le traître est né traître pour mourir traître, évolue dans le terreau de la médiocrité et de l'indécence, fonctionnaire de la politique du ventre. Il n’est fidèle qu’à sa petite personne et aux caprices de ses plaisirs sensuels, bestiaux et instinctifs. Il ne croit qu’aux ressources de ses prestations, convertible, infidèle, pervers et inhumain.
L’histoire se répète et comme à l’accoutumé DAF trahit encore une fois sa famille politique. Etant pris par surprise quant à la volonté de ses frères de lutte de se présenter à l’élection présidentielle contre le candidat de la coalition UMP Avril 2016. Son slogan « PAS CENI PAS D’ELECTION » n’a pas su attiser les convoitises de la masse populaire
Ce dernier n’ayant pas consommé, trahit sa base en manifestant son mécontentement de quitter la coalition.
Djib-Press



dimanche 7 février 2016

Clashs, coups bas et embuscades : nouvelles recette d’une USN en décomposition

Bouldhouqo fut une défaite cuisante pour les radicaux tribalistes usnistes de tout bord. C’était un guet-apens et tout le monde a compris les objectifs politiques visés derrière ce « ziyara » d’un autre genre. Pas seulement une défaite mais le point de départ de la chute tant attendue d’une opposition minée par des querelles intestines. L’autre programme politique, que vociféraient les leaders de cette opposition à tue- tête et depuis presque un an « PAS de CENI PAS D’ELECTION » a porté le coup de grâce pour achever et tuer dans l’œuf toute crédibilité d’une opposition vouée à l’échec.
Quand on s’unit dans le mal, on périt dans le mal !!!
Comble de l’ironie, quelques jours après qu’une grande partie de cette composante ait proclamé son approbation pour participer au scrutin d’avril prochain, le même jour se tenus deux discours qui témoignent de l’ampleur du dégât au sein de cette opposition de pacotille. L’un est l’œuvre d’un ancien avocat. Meidal. Qui ment comme un arracheur de dents. L’autre tenu par DAF, la frange la plus radicale et la plus dangereuse pour la république.
Le premier n’a pas hésité à prendre ses militants pour des moutons de Panurge. Qui ne comprennent que dalle de la politique. Assimilant le programme « PAS DE CENI PAS D’ELECTION » à juste un petit slogan qui n’en valait rien !! Qu’il fallait voir plus loin. Que ceux qui campent toujours la- dessus n’ont de politiciens que de nom. Apprécier à sa juste valeur le pic et le doigt d’honneur adressés au grand manitou DAF et les iconoclastes islamo-fascistes. D’un tour de passe-passe habile il fait avaler la couleuvre. Tour de magie réussi. Applaudissements. La galerie est acquise. Et pour faire passer la pilule, quoi de mieux qu’une leçon de démocratie à l’américaine ? Des primaires !!! On en rigole déjà du mode de scrutin de ces soi-disant primaires. Les militants auront-ils leur mot ? Ou se sera juste une réunion factice des principaux loups de cette coalition ?? Accusés de haute trahison par les militants les plus radicaux, Meidal s’octroie un couloir de survie et jette des pneus de sauvetages à ceux qui se sont déclarés candidats. Les brebis galeuses en somme.
Sauf qu’ailleurs et au micro de la radio de la honte(LVD), DAF jette son venin sur ceux qui ont eu l’audace de contredire la vision politique de son hydre (USN) : torpiller les élections, mettre le pays à genoux et profiter du désastre politique pour s’affirmer sur la scène nationale. Une diatribe fleuve de plus de trentaine de minutes. Que retenir pendant les vingt premières ?? Rien à mettre sous la dent !! Juste un prof d’histoire qui aime les dates et les événements qui s’y rapportent. Chapeau maître !!!
Mais les choses se gâtent après. Il laisse éclater sa colère. Exhibant au passage son amertume et son dégout envers ses « amis » d’hier. Il a su que les choses lui échappaient. Lui qui se croyait grand artisan de cette association mafieuse ! Chirdon Abass ne s’était arrêté à la station service « USN » juste le temps de faire le plein. Les autres traités d’hypocrites et des arrivistes !! Le programme « PAS DE CENI PAS D’ELECTION » reste l’unique feuille de route aux yeux de son parti extrémiste (MRD).
Sacrée ambiance !! Deux discours, deux visions dorénavant. C’est la nouvelle composante de l’ex-USN. On s’auto-flagelle, on se torpille mutuellement. A suivre 


 Quand on croit à des ideaux juste et universelle, on fonce jusqu'au sacrifice ultime. En effet, entre l'interet personnel de preserver sa nationalité belge( principale entrave de sa non presentation à l'election presidentiel), et les sacrifices qu'exigent les idées auquelles il croit. DAF a tranché, desormais il choisit sans etat d'ame son interet personnel au detriment de ses idées car trop couteuses. Par quelle logique doit-on vouloir pretendre acceder à la plus haute fonctions d'un pays dont on y croit meme pas?





samedi 6 février 2016

Boreh et les multiples avatars de sa fortune.

Je suis devenu une proie de remords cuisants qui ne cessent de m’harceler et me dévorer. Le destin m’a marqué une croix d’ignominie et me rend malheureux. L’argent est la source de tous les maux, il a beaucoup perverti mon caractère. J’étais de nature orgueilleux, un malicieux personnage invisible, maintenant, je deviens inutile, au pire, un élément nuisible à la nation. L’argent était mon seul maitre, il m’accompagnait, me forme, me renseignait. Je pensais que j’allais vivre joyeusement comptant beaucoup sur mes moyens financiers. Le besoin de le retenir et de le thésauriser me tenaillait. J’étais accroc à la réussite financière, j’avais tant d’amour pour l’argent que j’ai cru sottement qu’il était impossible de vivre sans lui, un compagnon indéfectible qui a les facultés de résoudre tous les problèmes, un code de reconnaissance entre les hommes. Je me suis plié longtemps sous ses ordres, obéissant ses frasques lugubres. Son rouleau compresseur a broyé tant des citoyens malheureux sous mon œil foudroyant. J’ignorais que l’argent était une source d’inquiétude et d’angoisse, un facteur qui divise et crée des conflits. Voilà enfin, avec ses effets pervers et néfastes, il m’empoissonne la vie. Non seulement il est devenu mon talon d’Achille mais aussi il m’assaille, me crève le cœur, m’écrase et mon bouclier antimissile ne fonctionne pas absolument. Maintenant, je suis sans amis et sans avenir, sans patrie, seul dans un bateau en détresse dans le milieu dans un océan houleux. Je suis souffre comme un damné, mutilé et impotent ! Adieu ma vie galetteuse, mon immeuble rupin, ma fortune de satrape, mon autorité et l’exercice despotique, ma vie de rentier cossu et paisible. Adieu veau, vache, cochon, couvée, adieu ma gloire. Je me croyais être plus royaliste que le roi, mais mon passé obscur m’a finalement rattrapé.


Pourquoi IOG demeure notre choix unique ?

Il est d'un grand courage, d’une capacité intellectuelle très vive, d’un sens de l’ordre, de la méthode, il demeure tenace dans l’accomplissement de ses tâches dans la sincérité.
Un esprit adepte de l'organisation sans faille, qui fait preuve de rigueur, de détermination et d'une endurance certaine dans tout ce qu'il entreprend. Il est garant de la stabilité et agit avec fermeté, générosité.
Il est d’une maturité et d’une confiance tant appréciée par ses concitoyens, persévère dans ses efforts et apte à relever le défi de mener à bien une œuvre de longue haleine.
A ce titre, il est un psychologue très fin, un idéaliste et un visionnaire né, il hait les conflits et agit toujours en faveur de la paix. Son flair pour les relations planétaires et les communications entre les différents protagonistes est un bel exemple pour tous.
Sa passion pour le métier, son dévouement, son patriotisme sont ses principales qualités intrinsèques. Il fait des efforts intellectuels cyclopéens, effectue un travail de titan, des tâches gigantesques au profit d’une population fort confiante dans son avenir.
Il est rare de rencontrer un homme qui a un cœur d’engagement toujours fier débordant d’énergie, d’intuition joyeuse, de confiance active, d’innovation, d’inspiration , de sagesse, des visions nettement éclairées, intarissable en termes de projets, qui a le tempérament porté à l’optimisme et le patriotisme chevillé au corps.
Cet homme qui est toujours au diapason avec les aspirations les plus partagées de son peuple, qui ne ménage pas ses efforts, qui n'économise ni son souffle ni sa salive, qui se montre toujours très attentif au sort de ses concitoyens notamment les plus nécessiteux, qui fait preuve d’une immense curiosité et d’une grande disponibilité, a bel et bien mérité l’admiration de tous. En tout bien tout honneur.
Citoyennement







DJIB-PRESS TV bientôt disponible.
Pour vous tenir en haleine avec des programmes variés et des analyses détaillées sur la situation sociopolitique de notre pays, des experts bien aguerris font vous fournir toutes les actualités nationales en vidéo.

jeudi 4 février 2016

L’USN ou Luciférien ?


« Lucifer aime les hommes forts. Les plus brutaux sont les meilleurs et l’USN correspond et répond à nos critères de recrutements ».

L’USN avait signé un « pacte avec le diable » à savoir les sionistes qui veulent déstabiliser les Nations souverains dans le but d’atteindre leurs objectifs à savoir le trouble et le désordre en jouant sur la carte de la soi-disant « démocratie à géométrie variable ».
Le peuple Djiboutien et la plupart de nos concitoyennes et concitoyens ont saisi cette mascarade et cette ironie. Depuis longtemps, ils se souviennent de la situation d’une opposition caractérisée de « sans-projet ou d’absence de programme cohérent », ce qui a amené l’opposition Djiboutienne à être absente de la scène politique se caractérisant par le boycott des élections en privant d’un ensemble de leurs concitoyens de s’acquitter de leur devoir civique.
Parmi les partisans déterminants et confident de ce pacte sont DAF (Président du MRD parti illégal et sous le coup d’une sanction d’inéligibilité par sa double nationalité mais aussi par la trahison de sa patrie en s’alliant avec un envahisseur et un ennemi qui s’est donné tant de mal pour détruire son pays d’origine à savoir l’Erythrée). C’est aussi Mr Ahmed Youssouf, actuel Président de l’USN et ex Président du parti de l’ARD dont le fils du défunt Ahmed Dini a repris, lui aussi détenant la double nationalité Franco-Djiboutienne, est un homme de main de la France-Afrique, à travers ses relations avec cette ancienne puissance coloniale et sachant d’autre part qu’il est aussi marié à une française. Ce qui fait de lui un mécanisme ou un moyen de reproduire et rendre perpétuel le néo-colonialisme.

Ce pacte allait permettre à ses instigateurs de fournir à l’USN des moyens tant financiers, techniques et au final en armement que ces derniers pourraient utiliser pour renforcer leur poids. Ce pacte avait pour objet la mise en place d’un clivage ethnique entre l’ensemble de la société Djiboutienne et plus particulièrement des haines et préjugés nationaux.

Djibouti est l’un des pays d’Afrique et du Monde connus non seulement pour sa position géostratégique, sa position par rapport à la lutte contre le terrorisme et la piraterie, enfin pour avoir signé des accords assez conséquents avec la Chine et qui feront de Djibouti dans un futur très proche une place financière régionale, puis à court-terme une puissance continentale et devenir à long terme la place financière internationale. Etant conscient de cela, ces derniers manifestent leur mécontentement par l’alliance faite par des individus répondant à leur souhait et satisfaisant leur bien-être personnel.